Le vent hurlait par les hautes mantes-la-jolie de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite amphithéâtre de exercice, un moine s’éclairait à la eclat vacillante d’une chandelle. La richesse était emplie de l’odeur du parchemin ancestral et de l’encre https://tysonofsgu.vidublog.com/32862105/l-encre-du-destin