Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son pli, attendait que l’obsidienne parle à récent. La pierre black semblait absorber l'éclairage sélénique, pervibrer par-dessous la pression du vent, et assez fréquemment, sans aviser, elle résonnait de cette voix démodée https://josuekmiey.estate-blog.com/33073254/le-grâce-dans-la-pierre-black