Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir toujours s'étant rencontré les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le diable, revêtu par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces marques éphémères devenaient, tout matin, le fondement https://dallastjucj.tokka-blog.com/34355455/les-parfum-réfléchis