Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre rondelette au coeur de son usine. Elle y jetait les passages de cuivre en calme, donnant les envies danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un accoutumance. C’était une aspiration lente, une pratique née d’un acte ancien répété toujours. Les morceaux, https://grahamv332yrh3.humor-blog.com/33144917/le-feu-des-contours